Se défaire de ses addictions
A lire attentivement : L’hypnose et la sophrologie accompagnent les addictions, mais s’il s’agit d’une addiction forte à l’alcool, à la drogue ou toute autre addiction qui affecte votre humeur, votre vie quotidienne et vos relations avec les autres, vous devez impérativement en parler au préalable avec votre médecin. Il vous orientera peut-être en priorité vers un addictologue. L’accompagnement que je vous propose vient en appui de toutes les prises en charge que vous avez, pour vous aider à mieux vivre les symptômes ou les effets secondaires des médicaments, mais l’hypnose seule ni la sophrologie ne permettent pas de régler une addiction forte où la dépendance physique et mentale impacte votre vie au quotidien et pour laquelle il faudra une période de sevrage qui doit rester sous surveillance médicale. Parlez-en à votre médecin et avec son accord, je serai ravie de vous accompagner.
Les addictions couvrent un large éventail de pratiques. On pense immédiatement à l’alcool ou à la drogue, mais bien d’autre choses peuvent faire l’objet d’une addiction. Jeux vidéo, achats compulsif, jeux à gratter, smartphones… En réalité, on peut être addict à pratiquement tout. Dès lors que c’est excessif pour soi ou pour l’entourage, et qu’il y a une souffrance, on tombe dans l’addiction.
L’addiction est parfois difficile à percevoir pour la personne concernée. Dans ce cas, l’entourage joue un important rôle d’alerte. En revanche, si la personne addict refuse de considérer son comportement comme tel, les thérapies seront inefficaces.
L’hypnose repose sur la participation volontaire de la personne. La prise de conscience du problème est donc un préalable indispensable. C’est pour cela qu’il ne sert à rien d’amener une personne addict se faire soigner si elle ne le veut pas sincèrement. C’est uniquement par son implication que le traitement pourra être efficace. Pour guérir, il faut le vouloir.
En cas de conséquences médicales de l’addiction (par exemple dans le cas de l’alcool ou la drogue, s’il y a une pathologie associée), je n’interviendrai qu’après accord et en collaboration avec le professionnel de santé. L’hypnose est un complément efficace, mais ne se substitue en aucun cas à un suivi médical.
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